Candidose : faites-vous ces erreurs ?


Je vous informe aujourd’hui en vidéo sur 7 erreurs classiques à ne pas faire si vous êtes en lutte contre la candidose. Ce sont des erreurs très délétères et pourtant très fréquentes dans les protocoles anti-candida. 

Les 3 premières erreurs sont vraiment courantes, et pourtant si vous ne les corrigez pas, aïe aïe aïe, c’est compliqué ! C’est parti pour la vidéo, et si vous préférez lire, ça se passe en dessous de la vidéo !



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Retranscription « Erreur Candidose »

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Bonjour tout le monde, je suis Juliette Lepoutre, je suis naturopathe et je suis spécialisée en candidose et dysbiose.

Et aujourd’hui je vais vous lister des erreurs que je vois couramment dans vos protocoles anti candidose ou anti dysbiose. Parfois je vois des gens qui font super bien régime, ils sont très motivés, très impliqués
dans ce qu’ils font pour lutter contre la candidose et la dysbiose.


Et ils me disent je comprends pas, je suis au régime depuis des mois, je fais tout bien, je ne fais aucun écart et malgré tout, j’ai encore des symptômes, j’ai des hauts et des bas, j’ai encore des mycose, je comprends pas ce qui m’arrive.


J’ai vu un deux trois naturopathes et j’ai l’impression que j’en sortirais jamais. Je ne sais plus quoi faire, je suis perdu, je suis désespéré. Et ben bien souvent, quand je vais creuser leur dossier entre guillemets, je vais voir une des erreurs que je vais lister aujourd’hui dans cette vidéo. Donc je les ai regroupés en sept erreurs.


Et c’est clair que c’est pas surprenant finalement qu’il y ait des erreurs entre guillemets dans le protocole parce que c’est un sujet hyper technique. La candidose, la dysbiose, c’est des sujets hyper techniques. Vous êtes des cas très compliqués pour vos naturopathes.


Et d’ailleurs, moi qui ai conçu le programme Sortir de la candidose, eh bien c’est un programme qui est technique, qui est compliqué. Il y a 20 cours ou je vous explique tout mon protocole de A à Z, les quatre phases pour en sortir. Il y a des cours qui sont vraiment, euh et bien il faut être concentré en fait et ils sont techniques.

Et moi, je demande aux participants de vraiment s’impliquer, vraiment, écouter, vraiment mettre en place. Je redis à la fin des cours quelles sont les actions. Qu’est ce qu’il y a à faire ? Parce qu’il y a des choses à faire et c’est pas simple. Il faut peut être prendre des notes. Il faut vraiment être impliqué, bien écouter, bien mettre en place pour sortir la candidose.


Parce que si on rate deux ou trois points qui sont importants, eh bien on va stagner. On ne va pas forcément avoir assez de résultats et parce que c’est un combat qui est compliqué, qui demande vraiment de mettre en place une stratégie, une méthodologie pour en sortir sur du long terme. Donc voilà, je vais vous détailler les 7 erreurs. J’ai regroupé ça en sept erreurs et c’est vraiment ce que je vois généralement qui est mal fait dans les protocoles.

1ère erreur candidose : ne pas prendre d’antifongiques


Alors la première erreur, eh bien, c’est tout simplement de faire sans antifongique. Et oui, c’est quelque chose que je vois couramment, donc ça me parait pas du tout cohérent, mais je le vois encore. Donc ça c’est des gens qui vont faire le régime super bien. Donc ils enlèvent tous les sucres, le gluten, les produits laitiers. Ils font attention à ne pas manger trop de féculents à l’index glycémique, ils font attention à manger super bien, ils vont même pas au restaurant, ils ne font pas d’écart, quand ils vont chez des amis, ils emmènent leur tupperware, tout est bien fait.


Et par contre, je dis « et vous, prenez moi comme complément alimentaire ? » Et là il n’y a pas de antifongiques, il n’y a pas d’anti fongiques. Oui, mais je mange de l’ail, non, c’est pas du tout suffisant. Votre gousse d’ail je ne dis pas que ça fait rien, c’est intéressant, mais c’est pas du tout suffisant. Donc première erreur, elle est toute bête, mais en fait vous faites juste le régime et pas le protocole.


Vous ne prenez pas d’anti fongiques, c’est pas suffisant, c’est juste pas possible ça. Ça a été vu et revu dans la littérature des personnes qui connaissent bien le candida, ça ne marche pas. C’est pas juste en lui donnant moins à manger qu’il meurt. C’est un champignon, c’est très résistant. Il faut absolument prendre des antifongiques.

2ème erreur candidose : prendre un seul antifongique

D’ailleurs, deuxième erreur, il ne faut pas prendre un seul antifongique. C’est tellement résistant qu’il faut
prendre de diverses sortes de antifongiques. Il faut varier les antifongiques, il faut qu’il y en ait plusieurs dans votre armada anti candida. Et ça, je le vois souvent quand vous êtes suivi par des naturo ou des médecins en micro nutritionniste qui vont partir sur un produit parfois parce que c’est un produit que le labo leur a conseillé, etc.


Alors des fois il y a plusieurs choses dans le produit, c’est vrai, mais ça ne va pas être assez varié. Il y a des personnes qui prennent juste un antifongique, c’est ce que leur naturo leur a conseillé. Ou bien ils ont vu cette antifongique sur internet et ils prennent que ça depuis des mois et des mois. Et comme c’est très résistant le Candida, il faut l’attaquer avec plusieurs choses différentes et en plus sur la durée, il pourrait devenir résistant si on a appris que ça pendant des mois.

3ème erreur candidose : ne pas se préparer avant les antifongiques


Troisième point très important il ne faut jamais prendre un antifongique sans avoir fait une préparation au préalable. Alors, c’est quoi cette préparation ? C’est simplement une phase que moi j’appelle phase zéro de plusieurs semaines.

Selon votre état, on va devoir trouver un nombre de semaines. Ça varie vraiment selon l’âge et selon d’autres conditions. Un nombre de semaines ou on ne prend pas de antifongiques et on prépare simplement son corps qui est déjà bien abîmé par la candidose. Les organes de détoxification sont déjà bien chargés, comme le foie, les reins, la vitalité bien entamée. On va essayer de remettre ça dans une bonne forme pour pouvoir attaquer ensuite avec les antifongiques ou là on peut avoir du die off et ça peut être très fatigant.


Et il faut surtout surtout pas que, au moment de prendre des antifongiques, il y a trop de toxines à gérer par votre corps par rapport à sa capacité de détoxification. C’est à dire que on a tous des toxines qui génèrent dans le corps. Quand on a la candidose, une dysbiose, on en a plus. À cause des agents pathogènes qui génèrent des toxines, le candida génère des toxines.

Les mauvaises bactéries génèrent des toxines. Et donc déjà quand on est en état dysbiose ou candidose, on a beaucoup de toxines à gérer dans le corps. Et donc voilà y a ça de toxines à gérer. Et nos organes ils essaient d’ éliminer la même chose, mais parfois ils sont un peu en dessous, c’est à dire que du coup, ça crée des maux de tête, cette sensation de gueule de bois, plein de soucis, surtout au niveau mental, mais plein de soucis quand même. Même sur la peau etc.


Et donc on est déjà là avec trop de toxines par rapport à ce que nos organes peuvent gérer. Ça c’est ce que nos organes peuvent gérer et ça c’est ce que la candidose ou la dysbiose génère comme toxines.
Donc on est déjà pas bien et c’est une partie des raisons pour lesquelles on n’est pas bien.

Quand on va faire le traitement antifongique, on va tuer du candida albicans ou des mauvaises bactéries avec les antifongiques et les antibactériens. Et à ce moment là, ça libère encore plus de toxines dans le corps. OK, parce que notamment quand les agents pathogènes meurent, eh bien ils perdent les toxines. Donc, imaginez si vous organisez cela et que vous avez encore tout ça, vous allez être encore plus mal, encore plus de gueule de bois.


Parfois, on est super déprimé, on finit complètement alité, on a hyper la tête hyper mal au ventre. On ne peut pas être à l’aise parce qu’il y a de cet écart entre ce que je peux détoxifier et ce que j’ai comme niveau de toxines. Donc la phase de préparation, elle va remonter les organes à un niveau ou ils sont plus en capacité de détoxifier pour qu’au moment ou prennent des antifongiques, ils soient capables de gérer la montée des toxines.

On va aussi pendant cette phase là, protéger les organes. On les aide à être plus en forme et protégés par rapport aux toxines. Si on ne fait pas ça, on risque un die-off parfois hyper dangereux, vraiment. Il y a des personnes qui se retrouvent dans des situations hyper dangereuses, c’est à dire très très mal au ventre et très mal à la tête. Grosse, grosse dépression.

Et ça, c’est dangereux, c’est désagréable, on n’en veut pas. Et puis voilà, c’est pas bon pour votre corps d’être en situation ou il y a trop de toxines. Là on est complètement mal de tous les côtés, mentalement, physiquement etc on cherche pas ça donc il faut faire une phase préalable et ça tous les naturo ne le font pas.


Si vous le faites tout seul et surtout vous le faites pas. Général, c’est ce que j’appelle la phase zéro dans mon protocole et c’est hyper important, hyper hyper important. C’est la phase ou on prend pas encore antifongique et ou on se prépare à en prendre.

4ème erreur candidose : voir un thérapeute qui n’est pas expert du sujet

Quatrième erreur que je vois chez les personnes qui ont vraiment une candidose présente, chronique, qui reste etc ou une dysbiose très présente. Il faut aller voir un thérapeute qui expert du sujet, alors il peut avoir d’autres domaines d’expertise. Il peut être spécialisé des troubles digestifs, mais il faut qu’il connaisse ce sujet de candidose ou des dysbiose qui sont encore une fois des sujets techniques. Et si le naturo ne connait pas bien ce sujet là, eh bien vous allez stagner et puis vous même vous allez douter.

Vous allez voir que sur internet c’est peut être pas écrit ça. Du coup, j’ai pas trop confiance. Je ne sais pas si le protocole est bon. Souvent, on m’écrit sur YouTube. Voilà ce que mon naturo m’a donné comme antifongiques. Qu’est ce que tu en penses ? Voilà les personnes doutent.

Des fois, je vois que les doses sont trop faibles, il n’y a pas cette variation et il peut aussi ne pas y avoir la phase zéro préalable que je viens d’expliquer. Et ça, c’est très dangereux. Vous avez du die-off vous êtes mal donc vous arrêtez les antifongiques. Le naturo arrêtez parce que vous n’êtes pas bien. Il commence à stresser de ce qui se passe chez vous parce que vous êtes dans un sale état. Après, du coup, il ose plus reprendre. Donc il faut quelqu’un, quand vous contactez le thérapeute, demandez est ce que vous avez déjà accompagné des candidose, des grosses candidoses ? Voilà, il ne faut pas hésiter à poser la question.

5ème erreur candidose : croire au miracle

Cinquième erreur, c’est de croire au miracle. Les miracles moi, j’y crois, mais il n’y en a pas beaucoup. Ce n’est pas la vie courante, les miracles. Or, il y a beaucoup de gens qui pensent que la candidose, on va pouvoir s’en sortir en un mois ou deux.

Souvent, ça va être parce qu’on vous, on vous vend du rêve. Il peut y avoir certaines, certaines méthodes, thérapies ou des produits. On vous dit un an, mais en un mois, c’est terminé. Il y a juste à prendre ça. Et puis voilà. Ou il y a juste à faire mon régime. On enlève tout tout tout ça, tous les féculents, puis après, c’est tout.

Non, non, non. Si vous voyez un truc extrême avec la notion un peu de miracle et que ça va très vite, non, ce n’est pas comme ça que ça marche, la candidose. Ce qui est beaucoup moins fun, mais ce qui est vrai, c’est que c’est long, ça prend du temps, il y a des rechutes, il y a des hauts et des bas.

C’est un travail qui est long et donc ça, c’est pas très vendeur quand on vous dit ça. C’est vrai que si on vend un produit qu’on dit, ça va être long. Vous allez devoir le prendre pendant huit mois, vous dites ah lala mais ça va me couter cher. Et alors ça voudrait dire qu’il ne marche pas ?

Donc on vous dit pas ça. Sauf que moi, je le dis, je le dis d’ailleurs peut être pas assez, parce qu’il y a encore des personnes qui me disent J’ai fait trois mois, j’ai encore des rechutes. Oui, oui, dans trois mois, s’il y a une grosse candidose au départ ou s’il est très installé, et bien c’est pas assez.

C’est vraiment un combat qui est long. Le problème, c’est que si vous croyez au miracle, vous vous dites Ouais, dans un mois, c’est terminé. D’un côté, c’est motivant, mais d’un autre, au bout d’un mois, vous allez être démotivé, désespéré, perdu.


Vous allez remettre en cause votre méthode et vous allez vous dire mais j’en sortirai jamais. Etc Alors que si vous savez que OK, on va avancer, mais ça va être long. Et puis ce sera un petit peu en dents de scie, mais tu vas t’en sortir. Et bien voilà, un moment donné, on se met en route et on n’est pas surpris et ballotté par les hauts et les bas comme dans des montagnes russes.

Donc ne croyez pas au miracle. Pensez plutôt au fait que c’est du travail. C’est comme quand on veut faire une formation pour changer de métier, par exemple. Ce n’est pas en trois semaines, c’est je vais m’impliquer, je vais prendre des cours et puis après, je vais passer un diplôme et puis après je vais m’installer. Et puis un jour, je serais super heureuse de faire ce métier là. Mais ça va peut être prendre un an et ce n’est pas immédiat.


Alors le point suivant il me tient vraiment à cœur et c’est lié à tout ça, c’est qu’il faut suivre vos symptômes. Quand je dis suivre vos symptômes, il faut les noter, il faut noter des score symptômes.
Moi, je demande à mes clients, participants du programme Sortir de la candidose de le faire tous les jours.

Parce que d’un jour à l’autre, le lundi peut être bien, le mardi peut être catastrophique, le mercredi peut être moyen. La candidose, c’est incroyable, ça varie. Donc si on fait ça tous les dimanches, on ne sait même plus quelle semaine on a passé. Peut être le dimanche, on est super mal, mais les cinq jours d’avant ca avait été, mais on le sait même plus tellement on a mal au ventre. Donc tous les jours on note ces symptômes. Moi je propose de le faire sur Excel comme ça, ça nous fait un petit calcul journalier avec un total. Et après on peut faire des courbes, on peut faire des statistiques et voir on ça en est. C’est vraiment vraiment important.


Moi, dans mon programme, ça permet de voir selon vos scores, est ce qu’on peut passer en phase 2 par exemple, on regarde si la diminution des symptômes des trois premières semaines / des trois dernières est suffisante pour passer en phase 2, ou bien si on va rester encore en phase 1, qui est la phase intense de prise antifongique, parce que ça n’a pas énormément diminué.

Ça permet aussi, et ça, c’est important de garder le cap, de ne pas dire au bout de trois mois ouais ben en fait, j’ai l’impression que ce que je fais ne sert à rien. Je vais bouffer une pizza avec une glace et puis pendant une semaine, je fais ça et je fais n’importe quoi parce que je me dis Oh là là ! En fait, je ne sais même pas si j’ai la candidose. Et voilà.


Et là, on fait comme ça des allers retours, on arrête, on reprend. Parce que finalement, on perd un petit peu le sens de ce qu’on fait. Quand on note tous les jours. Et bien on voit que les symptômes diminuent de 20, 30, 40% parfois, le truc c’est que même si ça a diminué de 40 %, vous allez me dire Ah ouais, mais j’ai encore des ballonnements. Ouais ok, mais ça a diminué de 40 % en quatre mois, donc on continue. Et puis à un moment donné, ça va descendre à dix si on s’arrête au bout des 40 % en se disant bon de toute façon j’ai encore mal au ventre, alors tant qu’à faire je vais faire n’importe quoi ou bien je vais changer de naturo et tout reprendre à zéro.


Je vais changer de méthode, … On n’en finit pas là, ça traîne là. Du coup, là, si on fait ça, ça traîne. Je l’ai vécu personnellement. Si on est, si on n’a pas, on garde pas le cap et la stratégie toujours mise en place.
Eh bien, ça traîne. Et pour garder le cap, il faut avoir ces scores chiffrés. Parce que votre cerveau va vous jouer des tours, il va vous envoyer du négatif. Il est habitué à ça en plus.

Mais ça, c’est un biais du cerveau que tout le monde a. On va dire, ouais mais t’as encore des problèmes, donc au lieu de voir l’amélioration, on va voir qu’il y a encore des problèmes et on risque de s’auto saboter. C’est à dire qu’on va carrément arrêter certaines choses, le régime ou le suivi qu’on a avec le naturo parce qu’on se dit, ouais, bof, je sais pas… Donc suivez vos symptômes.

Dernier point : ne pas traiter les mycoses en local


Dernier point, eh bien, je vous conseille vivement d’attaquer les mycoses également en local. Faites pas juste les compléments alimentaires en disant bon ça va partir à mycose au pied la partie etc. Oui c’est vrai. Normalement ça va partir. Mais je vous conseille vraiment d’attaquer sur tous les fronts. Donc si vous avez des choses en local, des mycose buccale, des mycose au pied, mycose vaginale et bien faites les applications locales en face, c’est un cours entier. Dans mon programme, il faut vraiment traiter en local.
Il faut que sur tous les fronts de votre corps, vous fassiez la bataille anti antifongique pour qu’à un moment donné le candida revienne à sa place.


Et ben voilà, je vous ai listé les sept erreurs. J’espère que ça vous a intéressé, que ça vous a remotivé. Ce que je sais, que vous avez besoin aussi d’encouragements, de motivation, d’information. Et voilà, encore une fois, c’est normal parce que c’est très technique et c’est long. Donc c’est du boulot pour vous et les informations sont bonnes à prendre. J’espère que ça va vous aider. Si c’est le cas, vous allez mettre un petit like. Si vous êtes intéressé par le programme, je vous mets les infos ci dessous. Il y aura tous les détails.


C’est un programme de 20 cours, le protocole de A à Z et à mes quatre phases, y a tous les compléments, les applications locales, tout ce qu’il y a à voir que je voyais avec mes clients en consultation. Je l’ai mis dans un programme pour pouvoir aider plus de gens. Avec ma liste d’attente, elle faisait plus de 100 personnes, ça n’avait plus de sens.

Bref, si vous êtes intéressé, il y a les infos ci dessous. Avec les modalités, vous pouvez aussi prendre un rendez vous avec une naturopathe qui accompagne le programme, qui connaît le programme par cœur et qui peut vous suivre. Moi, mon agenda ne me permet plus de prendre des consultations, mais de naturo que j’ai formé moi même, qui connaissent super bien le programme et qui ont l’habitude d’accompagner des personnes qui suivent le programme. Vous n’êtes pas perdu, on est là pour vous aider.

Je vous laisse aller voir ça si ça vous intéresse.
A très bientôt.

1 réflexion au sujet de « Candidose : faites-vous ces erreurs ? »

  1. Bonjour, j’ai vu récemment une naturopathe qui m’a demandé de faire un test mou fongique ainsi qu’une prise de sang. Par ailleurs je vais devoir prendre des gélules : origan+, chlorophyllum, complexe synergique pour l’équilibre microbien . Se rajoute de la tisane au thym et de l’extrait de pepin de pamplemousse. Qu’en pensez-vous svp ? J’ai une candidose depuis des années et j’en ai assez ! Mais tout cela a un réel coût ! Merci par avance

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